SICSOE en BD dans Châteaux Bordeaux

25 avril 2018

Vous connaissez Châteaux Bordeaux, la bande dessinée qui se déroule dans le vignoble Bordelais ? SICSOE figure dans le tome 8 de la saga de Corbeyran et Espé. Le scénariste Éric Corbeyran nous en dit plus !

SICSOE en BD dans Châteaux Bordeaux

SICSOE, un membre de la famille Bordeaux

Pour décrire Châteaux Bordeaux, Éric Corbeyran parle « photographie de famille de tous les acteurs de la filière des vins de Bordeaux ». Il était donc normal que la saga incorpore dans son histoire l’entreprise SICSOE. C’est Allan Sichel qui lui en a donné l’idée. Le négociant suit depuis le début le travail d’Éric Corbeyran et un jour, il lui a parlé de l’aspect logistique du vin : « il m’a conduit à SICSOE et nous avons arpenté les lieux ensemble ».

Visite des pôles Vin-CuverieEmbouteillageLogistique et Plateforme d’achats : le scénariste s’est imprégné du réel, pour faire progresser son intrigue. « La visite de SICSOE a été un vrai choc. C’est à la fois titanesque et d’une précision digne d’une horlogerie suisse. J’ai vraiment été impressionné par la qualité des installations et du travail ».

 

Découvrez la logistique vin en lisant Châteaux Bordeaux

Pendant son repérage à SICSOE, Éric Corbeyran a pris des tas de notes et des centaines de photos. Espé, le dessinateur de Châteaux Bordeaux, s’est appuyé dessus pour dessiner ses planches. Résultat, la BD rend précisément compte du travail de logistique effectué par SICSOE. Dans le tome 8, Alexandra, l’héroïne de Châteaux Bordeaux, suit les conseils d’un négociant et confie sa production à l’entreprise basée à Cénac.

Chaque lecteur peut donc découvrir cette étape qui consiste à embouteiller et à stocker les vins avant expédition. C’était la première fois que Châteaux Bordeaux mettait ainsi en scène une entreprise de services pour les négociants et les propriétés vitivinicoles.

 

Retrouvez SICSOE dans les pages du tome 8 de Châteaux Bordeaux, éditions Glénat BD.

Comme le dit Éric Corbeyran, cette saga s’adresse à tous, fans ou non de BD, amateurs ou grands connaisseurs de Bordeaux, car elle fait « l’éloge de la plus belle invention de l’humanité : le vin ! ».